Guide technique : construction d’un mur à ossature bois

La construction en bois connaît une popularité grandissante, attirant de plus en plus de constructeurs et de particuliers. En effet, elle offre des avantages considérables sur le plan écologique, avec l’utilisation d’une ressource renouvelable et une empreinte carbone réduite. La rapidité d’exécution, grâce à la préfabrication possible des éléments, et les excellentes performances énergétiques des bâtiments en bois sont également des atouts majeurs. Ces facteurs combinés en font une option attractive pour ceux qui cherchent une alternative durable et performante aux méthodes de construction traditionnelles.

Ce guide technique a pour objectif de vous accompagner pas à pas dans la construction d’un mur à ossature bois (MOB). Il vous fournira les connaissances et les compétences nécessaires pour mener à bien votre projet, en abordant les aspects techniques essentiels et les bonnes pratiques à suivre. Ce guide s’adresse aux autoconstructeurs avertis, aux artisans débutants, et aux étudiants en construction souhaitant acquérir une expertise dans ce domaine. Avant de vous lancer, il est crucial de respecter scrupuleusement les normes de construction, d’assurer votre sécurité et, si nécessaire, de faire appel à un professionnel qualifié.

Préparation et conception

La préparation et la conception sont des étapes fondamentales pour la réussite de votre projet de construction de mur à ossature bois. Une planification rigoureuse et une conception précise garantissent la solidité, la durabilité et la performance énergétique de votre structure. Cette phase englobe l’étude des normes et réglementations en vigueur (DTU), le calcul des charges et le dimensionnement des éléments de l’ossature, ainsi que la réalisation de plans détaillés et le choix judicieux des matériaux.

Normes et réglementations

Le respect des normes et réglementations est impératif pour garantir la conformité et la sécurité de votre construction. Les Documents Techniques Unifiés (DTU) définissent les règles de l’art et les bonnes pratiques de construction, notamment le DTU 31.2 pour les constructions à ossature bois et le DTU 41.2 pour le bardage. Les normes parasismiques et de résistance au vent varient en fonction de la région et doivent être prises en compte. Les réglementations thermiques, telles que la RE2020 pour les constructions neuves et la RT2012 pour les bâtiments existants, imposent des exigences en matière de performance énergétique. Le non-respect de ces normes peut entraîner des problèmes structurels, des infiltrations d’eau, des pertes de chaleur et des sanctions légales. Référez-vous toujours aux versions les plus récentes des DTU et aux arrêtés préfectoraux concernant les zones sismiques.

Calcul des charges et dimensionnement

Le calcul des charges et le dimensionnement des éléments de l’ossature sont essentiels pour assurer la stabilité et la résistance du mur. Il est impératif de prendre en compte les charges permanentes, telles que le poids propre du mur (revêtements, isolants) et les charges d’exploitation, comme le vent, la neige et les charges ponctuelles (meubles fixés au mur). Ces calculs permettent de déterminer la section des montants et des traverses en fonction de la portée et des charges appliquées. Des logiciels de calcul et des tableaux de dimensionnement sont disponibles pour faciliter cette tâche, mais il est recommandé de faire appel à un ingénieur structure pour les projets complexes. L’objectif est de garantir que l’ossature puisse supporter les charges prévues en toute sécurité et de prévenir les risques de déformation ou d’effondrement. Pour une habitation standard, on considère généralement une charge de neige de 60 kg/m² en zone de faible altitude, et une charge de vent pouvant aller jusqu’à 150 kg/m² en zone exposée.

Schéma de la chaine de transfert des charges

Schéma de la chaine de transfert des charges

Plans détaillés

Les plans détaillés sont le support visuel de votre projet de construction mur bois, permettant de visualiser et de coordonner les différentes étapes. Le plan de calepinage de l’ossature précise l’espacement des montants (généralement 40 ou 60 cm), le positionnement des ouvertures (portes, fenêtres) et la disposition des traverses. Les plans des assemblages détaillent les types de fixation utilisés (clouage, vissage, boulonnage) et les liaisons entre les différents éléments. Des schémas des points singuliers, tels que les angles et les jonctions avec d’autres éléments de construction (dalle, toiture), permettent de résoudre les difficultés techniques et d’assurer l’étanchéité et l’isolation de la structure. L’utilisation d’un logiciel de CAO (Conception Assistée par Ordinateur) spécifique pour la construction bois facilite la création de plans précis et professionnels. N’hésitez pas à consulter des exemples de plans MOB pour vous inspirer.

Une fois la conception validée, il est temps de se pencher sur le choix des matériaux, qui influencera grandement la performance et la durabilité du mur.

Choix des matériaux

Le choix des matériaux est un aspect déterminant de la qualité et de la durabilité de votre mur à ossature bois. Chaque matériau doit être sélectionné en fonction de ses propriétés techniques, de ses performances environnementales et de son coût. Il est essentiel de privilégier des matériaux de qualité, certifiés et adaptés à l’usage auquel ils sont destinés. Le bois de structure, les isolants, les membranes pare-vapeur et pare-pluie, ainsi que les revêtements extérieurs et intérieurs, doivent être choisis avec soin pour garantir la performance et la longévité de votre construction.

Bois de structure

Le bois de structure forme l’ossature du mur et doit être sélectionné avec soin. Les essences de bois les plus appropriées pour la construction mur bois sont l’épicéa, le sapin et le douglas, en raison de leur résistance mécanique et de leur disponibilité. Le bois doit être classé en fonction de sa résistance mécanique (classe C18, C24) et traité pour le protéger contre les insectes et les champignons (classe de risque biologique 2 ou 3). Le bois massif, le bois lamellé-collé et le bois composite sont autant d’options possibles, chacune présentant des avantages et des inconvénients en termes de coût, de performance et d’esthétique. Il est crucial de choisir un bois de qualité, sec et exempt de défauts, pour assurer la solidité et la durabilité de l’ossature. Le label CTB-Bois est une garantie de qualité pour le bois de construction.

Essence de bois Résistance mécanique Durabilité naturelle Utilisation recommandée
Épicéa Bonne Faible (nécessite un traitement) Ossature, charpente
Sapin Moyenne Faible (nécessite un traitement) Ossature, bardage intérieur
Douglas Très bonne Moyenne Ossature, bardage extérieur

Isolants

Le calorifugeage est essentiel pour minimiser les déperditions thermiques et améliorer le confort intérieur. Plusieurs types d’isolants, tels que la laine de verre, la laine de roche, la ouate de cellulose, la fibre de bois et les isolants biosourcés (chanvre, lin) sont disponibles. Chaque isolant présente des performances thermiques (lambda, R) et phoniques différentes, ainsi qu’un impact environnemental variable. Le choix de l’isolant doit être adapté au climat de votre région, à vos objectifs de performance énergétique et à votre budget. Il est important de veiller à la qualité de la pose pour éviter les ponts thermiques et garantir l’efficacité du calorifugeage. Les isolants certifiés ACERMI garantissent des performances thermiques fiables.

L’épaisseur de l’isolant influe directement sur la performance thermique du mur. Pour une construction conforme à la RE2020, une résistance thermique R d’au moins 4 m².K/W est recommandée pour les murs.

  • Laine de verre : Isolant minéral économique et performant.
  • Laine de roche : Bonne isolation thermique et phonique, résistante au feu.
  • Ouate de cellulose : Isolant écologique issu du recyclage du papier, bon rapport qualité/prix.
  • Fibre de bois : Isolant naturel performant, régule l’humidité.
  • Isolants biosourcés : Chanvre, lin, paille, matériaux écologiques et renouvelables.

Pare-vapeur et pare-pluie

Les membranes pare-vapeur et pare-pluie jouent un rôle crucial dans la protection de l’ossature bois contre l’humidité. Le pare-vapeur, placé côté intérieur du mur, empêche la vapeur d’eau produite par les activités humaines (cuisine, douche) de pénétrer dans l’isolant et de condenser. Le pare-pluie, placé côté extérieur du mur, protège l’ossature contre les infiltrations d’eau de pluie tout en permettant à la vapeur d’eau de s’échapper. Le choix des membranes doit tenir compte de leur perméabilité à la vapeur d’eau (Sd) et de leur résistance à la déchirure. Une pose soignée, avec un recouvrement des lés et une étanchéité des points de pénétration (câbles, tuyaux), est indispensable pour garantir leur efficacité. Le DTU 31.2 donne des recommandations précises sur le choix et la pose des membranes.

Revêtements extérieurs et intérieurs

Les revêtements extérieurs et intérieurs contribuent à l’esthétique, à la protection et à la durabilité du mur. Les revêtements extérieurs, tels que le bardage bois, l’enduit sur isolant et les panneaux bois, protègent l’ossature contre les intempéries et les agressions extérieures. Le bardage bois prix varie en fonction de l’essence et de la qualité du bois. Les revêtements intérieurs, tels que la plaque de plâtre, le lambris et les panneaux bois, assurent la finition intérieure du mur et contribuent à l’isolation phonique. Le choix des revêtements doit tenir compte de critères esthétiques, techniques et budgétaires. Il est important de choisir des revêtements compatibles avec les autres matériaux du mur et de respecter les règles de pose spécifiques à chaque matériau. Un parement en Fermacell offre une bonne alternative aux plaques de plâtre traditionnelles, améliorant l’inertie thermique et l’isolation phonique.

Construction de l’ossature bois

La construction de l’ossature bois est l’étape clé de votre projet autoconstruction mur bois. Elle nécessite une préparation minutieuse du chantier, un outillage adapté et une connaissance des techniques d’assemblage. Une ossature bien construite garantit la stabilité, la planéité et la durabilité du mur. Cette phase englobe la préparation du chantier, l’assemblage des éléments de l’ossature, la pose des linteaux et des seuils, ainsi que le contreventement de la structure.

Préparation du chantier

La préparation du chantier est une étape cruciale qui conditionne la réussite de la construction de l’ossature bois. Il est impératif de disposer d’un espace de travail propre, dégagé et sécurisé. L’outillage nécessaire doit être à portée de main et en parfait état de fonctionnement. Les matériaux doivent être stockés à l’abri des intempéries et triés en fonction de leur utilisation. Une organisation rigoureuse et une planification précise permettent de gagner du temps et d’éviter les erreurs. Un plan de sécurité doit être établi et respecté par tous les intervenants.

Outil Usage Indispensable / Optionnel
Scie circulaire Découpe précise du bois Indispensable
Perceuse-visseuse Assemblage des éléments Indispensable
Niveau Vérification de l’horizontalité et de la verticalité Indispensable
Cloueur pneumatique Fixation rapide des éléments Optionnel

Assemblage de l’ossature

L’assemblage de l’ossature est une étape délicate qui requiert précision et rigueur. Les méthodes d’assemblage les plus courantes sont le clouage, le vissage et le boulonnage. L’utilisation d’équerres et de connecteurs métalliques renforce la solidité des assemblages. Le montage de l’ossature peut se faire horizontalement sur un chantier, puis être levé, ou verticalement directement sur place. Il est essentiel de veiller à l’aplomb et à l’alignement des murs à l’aide d’un niveau et d’un fil à plomb. Un assemblage soigné et précis garantit la stabilité et la planéité du mur. Le DTU 31.2 précise les exigences en matière d’assemblage des éléments de l’ossature.

  • Clouage : Méthode rapide et économique, adaptée aux assemblages simples.
  • Vissage : Assemblage plus résistant et démontable, nécessite des vis adaptées au bois.
  • Boulonnage : Assemblage très résistant, utilisé pour les liaisons critiques.

Pose des linteaux et des seuils

La pose des linteaux et des seuils est une étape importante pour assurer la solidité et l’étanchéité des ouvertures. Les linteaux, placés au-dessus des portes et des fenêtres, supportent les charges de la structure et doivent être dimensionnés en fonction de la portée des ouvertures. Les seuils, placés au bas des portes, protègent l’ossature contre l’humidité et les infiltrations d’eau. Il est important de veiller à l’étanchéité des joints entre les linteaux, les seuils et l’ossature pour éviter les problèmes d’humidité et de moisissures. L’utilisation d’une membrane d’étanchéité sous le seuil est recommandée.

Il est crucial de bien dimensionner les linteaux. Un linteau mal dimensionné peut fléchir sous le poids du mur, entraînant des fissures et des problèmes d’étanchéité au niveau des ouvertures. Il est recommandé de consulter un professionnel pour le dimensionnement des linteaux, surtout pour les grandes ouvertures.

Contreventement

Le contreventement est indispensable pour assurer la stabilité de la structure et résister aux efforts horizontaux (vent, séisme). Il existe différents types de contreventement, tels que les panneaux OSB (Oriented Strand Board) et les croix de Saint-André. Les panneaux OSB sont fixés sur l’ossature et rigidifient l’ensemble du mur. Les croix de Saint-André sont des éléments diagonaux qui s’opposent aux déformations. Le positionnement et la fixation du contreventement doivent être réalisés avec soin pour garantir son efficacité. Pour une maison individuelle, on utilise généralement des panneaux OSB d’une épaisseur minimale de 9mm, fixés tous les 15cm sur les montants. Un contreventement bien réalisé assure la pérennité de la structure et prévient les risques d’effondrement. Le DTU 31.2 donne des indications précises sur les techniques de contreventement à utiliser.

Imaginez une feuille de papier : elle se plie facilement si on la pousse latéralement. Maintenant, collez cette feuille sur un carton rigide : elle devient beaucoup plus résistante. Le contreventement joue le même rôle pour un mur à ossature bois, en lui apportant la rigidité nécessaire pour résister aux forces horizontales.

Isolation et finition

Le calorifugeage et la finition sont les dernières étapes de la construction du mur à ossature bois. Elles contribuent à la performance énergétique, au confort et à l’esthétique de la construction. Le calorifugeage permet de réduire les pertes de chaleur en hiver et de maintenir la fraîcheur en été. La finition intérieure et extérieure protège l’ossature contre les agressions extérieures et assure l’esthétique du bâtiment.

Isolation

La pose de l’isolant doit être réalisée avec soin pour éviter les ponts thermiques et garantir l’efficacité du calorifugeage. Les techniques de pose varient en fonction du type d’isolant utilisé. Il est important de remplir complètement les espaces vides entre les montants et les traverses, et d’isoler les points singuliers tels que les angles et les jonctions avec les ouvertures. La pose du pare-vapeur doit être réalisée avant la pose de l’isolant pour empêcher la condensation de la vapeur d’eau dans l’isolant. La pose du pare-pluie doit être réalisée après la pose de l’isolant pour protéger l’ossature contre les infiltrations d’eau. L’utilisation d’un couteau à laine ou d’une scie à dents fines facilite la découpe précise de l’isolant.

  • Vérifiez que l’isolant est bien en contact avec l’ossature et qu’il n’y a pas de vides d’air.
  • Utilisez un cutter ou une scie à dents fines pour découper l’isolant à la bonne dimension.
  • Fixez l’isolant à l’aide de clous, d’agrafes ou de ruban adhésif spécifique.

Une méthode simple pour vérifier la densité de l’isolant une fois posé consiste à exercer une légère pression avec la main. L’isolant doit offrir une résistance uniforme et ne pas s’affaisser sous la pression. Si vous constatez des zones molles, cela signifie que l’isolant n’est pas suffisamment dense et qu’il risque de perdre de son efficacité.

Finition intérieure et extérieure

La finition intérieure consiste à habiller les murs avec des revêtements tels que la plaque de plâtre (BA13), le lambris ou les panneaux bois. La pose des plaques de plâtre nécessite une préparation des surfaces (jointoiement, enduisage) et des finitions (peinture, papier peint). La finition extérieure consiste à protéger l’ossature contre les intempéries et à donner un aspect esthétique au bâtiment. Les revêtements extérieurs possibles sont le bardage bois, l’enduit sur isolant et les panneaux bois. Le choix des revêtements doit tenir compte de l’esthétique, de la durabilité et de la facilité d’entretien. Le DTU 41.2 donne des recommandations sur la pose des bardages bois.

L’étanchéité à l’air et à l’eau des menuiseries (portes, fenêtres) est essentielle pour garantir la performance énergétique et le confort de la construction. Les joints d’étanchéité doivent être de qualité et régulièrement entretenus. Le calfeutrement des ouvertures permet de limiter les infiltrations d’air et d’eau. Une bonne étanchéité des menuiseries contribue à réduire les pertes de chaleur et à améliorer le confort thermique et acoustique.

Points critiques et erreurs à éviter

La construction d’un mur à ossature bois peut présenter des difficultés et des pièges à éviter. Les ponts thermiques, les défauts d’étanchéité à l’air, les erreurs de conception et les erreurs d’exécution peuvent compromettre la performance et la durabilité de la construction. Il est important d’être vigilant et de respecter les bonnes pratiques pour éviter ces problèmes.

Ponts thermiques

Les ponts thermiques sont des zones de faiblesse dans le calorifugeage qui entraînent des pertes de chaleur importantes. Ils se situent généralement aux angles, aux jonctions avec la dalle et la toiture, et autour des ouvertures. Pour limiter les ponts thermiques, il est important d’assurer un calorifugeage continu, de traiter les points singuliers avec soin et d’utiliser des matériaux isolants performants. L’utilisation d’illustrations thermiques permet de visualiser les ponts thermiques et de mettre en évidence les zones à améliorer. Des rupteurs de ponts thermiques peuvent être utilisés pour minimiser les pertes de chaleur au niveau des liaisons avec la dalle et la toiture.

Une illustration thermique montre clairement les zones où la chaleur s’échappe du bâtiment. Les zones froides apparaissent en bleu, tandis que les zones chaudes apparaissent en rouge ou en jaune. En visualisant ces zones, il est plus facile d’identifier les ponts thermiques et de prendre les mesures correctives nécessaires.

Défauts d’étanchéité à l’air

Les défauts d’étanchéité à l’air entraînent des pertes de chaleur, des courants d’air et des problèmes de condensation. Ils peuvent être causés par des joints mal réalisés, des fissures dans les matériaux, ou des points de pénétration non étanches. Pour détecter les fuites d’air, il est possible de réaliser un test d’étanchéité à l’air (blower door test). Ce test consiste à mettre le bâtiment en dépression à l’aide d’une soufflante et à mesurer le débit d’air nécessaire pour maintenir la pression. Les fuites d’air sont ensuite identifiées à l’aide d’une caméra thermique ou d’un fumigène. Pour améliorer l’étanchéité à l’air, il est important d’utiliser des membranes d’étanchéité performantes, de réaliser des joints soignés et de calfeutrer les ouvertures. Le coût d’un test d’infiltrométrie varie généralement entre 500 et 1000 euros.

La construction d’un mur à ossature bois présente des défis importants, mais en suivant attentivement ce guide technique, vous serez en mesure de construire un mur solide, performant et durable.

Construction durable et responsable

La construction en bois se positionne comme une solution d’avenir face aux enjeux environnementaux actuels. Privilégier des matériaux écologiques, une conception bioclimatique et une mise en œuvre rigoureuse permet de construire des bâtiments performants, confortables et respectueux de l’environnement. L’évolution des techniques et des matériaux ouvre la voie à des constructions toujours plus innovantes et durables, contribuant à un habitat sain et responsable pour les générations futures. Adopter une approche globale et intégrée est essentiel pour exploiter pleinement le potentiel de la construction bois et bâtir un avenir plus vert.